Une entreprise à la recherche de compétitivité sur le marché est stimulée par l’organisation. Plusieurs outils permettent de révolutionner l’exploitation des sociétés. Parmi ceux-ci, les outils technologiques sont l’une des solutions privilégiées par la plupart des managers. Ils apportent des solutions innovantes. Tout particulièrement, les Saas en constituent des déclinaisons crédibles et des solutions innovantes qui permettent d’automatiser les tâches en entreprise.

Les solutions de gestion de relations clients (CRM)

La dématérialisation est un processus nécessaire dans la transformation digitale d’une entreprise. En réalité, la gestion des clients est une tache récurrente qui peut vite se révéler harassante surtout si votre société possède un portefeuille client riche et diversifié. C’est la raison pour laquelle les plateformes de gestion des clients sont utiles pour réorganiser votre structure. Elles proposent des bases de données complètes qui permettent d’enregistrer le profil et les préférences de chaque client. De cette façon, vous obtenez des données diversifiées qui deviennent des ressources importantes pour réaliser une analyse statistique et actuarielle concrète. Il va sans dire que ce type de solution Saas innove par son interface claire et ses options très intuitives.

Techniquement, un logiciel en tant que service qui est fondé sur les rapports fournisseur client, propose des options avancées qui s’adaptent à chaque type de prospect et vous permet de mieux le fidéliser. L’avantage de ce type de plateforme Saas est son intérêt pour redéfinir votre gamme de produits pour les clients. De toute évidence, si vos clients ont une certaine appétence pour un produit, il vous reviendra d’en constater le volume des ventes à travers votre application et d’en augmenter la production ou d’en proposer une nouvelle gamme plus innovante. De même, la dématérialisation et la consolidation des données permettent de retracer plus rapidement les produits les moins cotés auprès des clients et de les retirer de votre ligne de production.

Par ailleurs, certains softwares as services orientés dans la gestion des portefeuilles clients représentent des solutions tout-en-un. Ils peuvent aussi être exploités pour la transmission de documents électroniques. Par exemple, si vous êtes le manager d’une société commerciale comme un supermarché, votre logiciel peut être utile pour générer vos factures sous forme électronique. Le cas échéant, certaines options peuvent aussi être configurées pour la transmission automatique aux destinataires ou pour procéder à des relances à certaines dates clés.

Les sites sécurisés de collaboration

Hormis la gestion des clients, le véritable enjeu des sociétés modernes est souvent lié à l’organisation interne et à la collaboration efficiente entre les travailleurs dans l’entreprise. En effet, il n’est pas toujours facile de coordonner l’action entre les salariés, surtout si votre business possède une hiérarchisation horizontale ou verticale, voire transversale. Or, la gestion efficace des potentialités humaines est un facteur clé de productivité de l’entreprise. Dans la mise en œuvre, les solutions Saas axées sur les sites sécurisés de collaboration entre travailleurs sont les meilleures réponses à ce type de difficulté.

Ces genres de plateformes intègrent les outils les plus communs exploités traditionnellement tout en intégrant des moyens de configuration de taches automatisées. En outre, vous pouvez y faire connecter tous vos collaborateurs tout en assurant la sécurité de chaque compte. Il devient possible d’assigner plus aisément des tâches, de suivre leur évolution, de superviser le traitement en temps réel, d’apporter des correctifs, de faire des commentaires et d’intégrer plusieurs collaborateurs sur un même projet. Cette dématérialisation du processus est très dynamique et motivante. D’ailleurs, les solutions software as services qui favorisent le travail d’équipe permettent aux salariés de travailler, quel que soit leur emplacement. Elles se révèlent plus adaptées aux besoins de mobilité et s’adaptent à l’évolution des nouvelles dynamiques du marché du travail.

Par ailleurs, l’option de la messagerie intégrée aux Saas est un concept innovant qui permet de travailler autrement et de décupler la productivité. Le travailleur peut interagir plus rapidement, solliciter de l’aide pour mieux avancer dans son projet. Ce genre de plateforme est aussi une solution de signature électronique des documents et de vérification des certificats numériques transmis. Il permet de faire des économies considérables en évitant l’accumulation de la paperasse.

Les Saas pour la gestion des dépenses

Dans la gamme des meilleures solutions Saas pour entreprise, les logiciels de gestion des dépenses sont très plébiscités. Les meilleurs Saas de cette catégorie privilégient les options liées à la cybersécurité et à la vérification des certificats numériques afin d’éviter de réaliser des paiements de fausses factures. L’une des options intégrées est aussi liée à l’adaptation aux systèmes CRM usuels, aux logiciels de comptabilité et garantissant l’authentification des acteurs. Au-delà, pour les solutions Saas, il convient de rechercher en priorité les possibilités offertes par le logiciel d’offrir un stockage dans le cloud pour vos données. Cette précaution vous permet d’éviter la perte de vos données sensibles en cas de cyberattaque.

La colocation est une solution d’hébergement très prisée par les étudiants ainsi que les jeunes actifs. Cela consiste à partager un espace et ainsi les loyers. Vous avez un appartement et souhaitez le proposer en colocation ? Il est essentiel de bien l’aménager afin de séduire les colocataires. Nos conseils pour un aménagement parfait de chaque pièce de votre appartement.

Aménager le salon

Lors de la visite d’un bien, le salon est souvent la première pièce que voient les colocataires. Aussi, il est crucial de soigner son aménagement. Il doit avant tout être bien illuminé et confortable. Bien entendu, vous devez y installer des canapés. Puisque vous ciblez de jeunes gens, l’idéal est d’opter pour un meuble contemporain. Par exemple, un canapé d’angle de style scandinave est parfait. Pour la table basse, préférez un modèle stylé et qui n’est pas imposant. Et puisque cette espace sera utilisé par les occupants pour regarder la télévision seul ou avec des amis, il faut l’équiper d’un meuble TV. Prévoyez également des poufs pour que tout le monde puisse profiter de cet espace. Pour trouver des meubles pas chers mais design, prenez le temps de comparer les prix proposés par les boutiques en ligne ou en magasin.

En ce qui concerne la déco, il est conseillé de ne pas trop charger les murs et l’espace. Installez juste les meubles essentiels et laissez aux colocataires la possibilité de décorer leur salon en fonction de leurs goûts. En ce qui concerne la couleur des murs, privilégiez le blanc ou le blanc cassé pour rendre la pièce lumineuse. Vous pouvez y apporter une touche de modernité en peignant un pan des murs avec une couleur chaude.

Préparer la salle de bain

La salle de bain est également décisive pour les colocataires. Si elle n’est pas bien organisée, alors que le reste de la pièce est parfaite, ces derniers pourraient hésiter et chercher un autre appartement. L’idéal est d’aménager une salle de bains par chambre si c’est possible. Mais, si cela ne l’est pas, pensez à diviser la salle de bains en deux. Certes, cela réduit l’espace, toutefois, c’est plus pratique et évite aux autres colocataires d’attendre des heures pour pouvoir se préparer. Bien entendu, une douche est plus adaptée en colocation. La baignoire occupe beaucoup de place et incite les colocataires à occuper la pièce pendant des heures pour s’y détendre. À côté de chaque douche, mettez en place un rangement pour permettre à chacun des colocataires de ranger leurs produits. Afin de satisfaire autant que possible à tous les goûts, préférez une couleur neutre et sobre que ce soit pour le sol ou les murs.

Décorer les chambres

La chambre est l’espace privé de chacun des colocataires. Ainsi, il est avant tout essentiel qu’elle soit dotée de serrures. Puis, afin de la rendre pratique, il est aussi conseillé d’installer plusieurs prises dans chaque pièce. Ainsi, l’occupant peut brancher aisément tous les appareils électriques qui lui sont nécessaires. Ajoutez aussi un petit bureau avec une lampe de chevet design. Bien entendu, vous devez également y aménager un dressing. Prévoyez aussi des rangements pour les autres affaires personnelles comme les livres, les cahiers, les produits alimentaires, etc. S’il manque d’espace au sol, optez pour de petites étagères murales.

Pensez également à installer dans la chambre un tabouret pour qu’il puisse accueillir un(e) ami(e) chez lui. Assurez-vous toutefois que la pièce ne soit pas trop encombrée. En ce qui concerne la couleur des murs, ne prenez aucun risque, privilégiez le blanc cassé. Après, chaque colocataire peut décorer sa chambre selon ses goûts. Pour le sol, le parquet est plus chaleureux et plus classe.

Bien organiser la cuisine

Pour attirer les colocataires, proposez-leur une cuisine chaleureuse, pratique et conviviale. Aménagez un plan de travail spacieux pour faciliter les préparations ainsi que les cuissons. Profitez également de la hauteur de la pièce en installant des étagères murales. Multipliez-les autant que possible pour que les colocataires n’aient pas à encombrer le plan de travail avec les accessoires de cuisine. Puis, n’oubliez pas la table à manger. Si l’espace est réduit, optez pour une table ainsi que des chaises repliables.

En ce qui concerne la décoration de la pièce, restez encore une fois dans une couleur sobre. Le gris et le beige sont, par exemple, parfaits. Puis, si les colocataires souhaitent y ajouter une touche de couleur, ils peuvent opter pour des électroménagers ou des accessoires de cuisine dans le coloris de leur choix. Enfin, si l’appartement possède un couloir d’entrée, vous pouvez y installer un large meuble de rangement. Les occupants de l’appartement peuvent ainsi y placer leurs vestes ou leurs manteaux.

Nombreuses sont les entreprises qui nourrissent la volonté de se lancer dans l’export. D’apparence simple et facile, cette démarche d’internationalisation renferme un grand nombre de risques. Le défi qui se présente à eux se résume alors à : parvenir à se prémunir de ces aléas pour la réussite de leurs projets d’exportation. Anticiper de tels risques nécessite d’avoir une bonne stratégie.

Procéder à une évaluation des risques liés au commerce extérieur

Qu’il s’agisse de jeunes entreprises ou non, le développement à l’international exige une bonne capacité d’anticipation. En effet, l’extension d’une activité entrepreneuriale à l’étranger implique beaucoup plus qu’une simple prospection commerciale. Elle amène les entreprises à se confronter à des risques de diverses natures (économiques, juridiques, politiques, réglementaires…). De tous ces aléas, le risque du non-paiement est sans aucun doute l’un des premiers auxquels les entreprises exportatrices doivent faire face. Étant donné le caractère vital des ressources financières pour une entreprise, avant de penser à développer l’exportation, ce risque doit être parfaitement analysé et des mesures préventives doivent être prises.

En dehors de cet aléa, les erreurs dans les formalités administratives et douanières constituent des risques à prendre au sérieux. La présence d’une ou de plusieurs erreurs lors de la déclaration de douane peuvent avoir des conséquences regrettables pour une entreprise. Elles peuvent donner lieu à des amendes et des sanctions assez importantes. Les entreprises qui se lancent dans l’export doivent également faire face à des aléas liés aux marchés étrangers tels que les changements d’habitudes de paiement et la non-proximité du marché. Elles doivent également se confronter à la corruption, à l’augmentation des taxes et des droits de douane.

Gérer les risques de non-paiement

Avant de vous lancer dans le commerce international, il est important de recueillir le plus d’information possible sur le pays dans lequel résident votre ou vos clients. Des éléments comme le modèle économique du pays et ses chiffres dans votre secteur d’activité peuvent vous aider. N’hésitez pas aussi à récolter des renseignements relatifs entre autres aux risques de conflits, aux risques politiques, aux juridictions. À cet effet, ces différentes informations peuvent vous être utiles pour évaluer le niveau de difficulté qui peut surgir dès lors qu’il est question de contraindre un partenaire de business à vous payer. Il n’est pas toujours facile aux entreprises françaises de vite obtenir gain de cause en cas de procédure judiciaire (pourtant nécessaire pour obliger un partenaire à rembourser). Il faut tenir compte du fait que tous les pays ne sont pas la même politique pour les procédures du genre. Certains préfèrent accorder plus d’avantages aux entreprises locales, alors que d’autres ont des procédures d’une très grande lenteur.

Pour éviter ce genre de situation, optez pour la prudence et vérifiez l’identité de votre partenaire commercial. Cela vous permet d’être sûr que vous entretenez une relation client avec la bonne entreprise. Hormis son identité, il est également judicieux de jeter un coup d’œil à sa solidité et à sa santé financière. Grâce aux sociétés d’informations financières, vous pouvez aisément obtenir une ou plusieurs évaluations de l’entreprise avec laquelle vous vous apprêtez à traiter. Ces évaluations vont vous permettre d’acquérir des paramètres comme le score de défaillance et l’indicateur de risque. En fonction de ces derniers, vous pouvez par la suite choisir des solutions de paiement adaptées. Il faut préciser qu’en matière d’options disponibles pour limiter les risques d’impayés et les problèmes de financement, vous avez :

Anticiper les erreurs lors de l’exécution des formalités

Il est important de souligner qu’il peut être question d’exportation définitive ou temporaire. Quoi qu’il en soit, une erreur est loin d’être une bonne nouvelle pendant l’exécution des formalités douanières. Lorsqu’il est question d’exportations définitives, vous avez la possibilité de recourir à une structure spécialisée en la matière. Il peut s’agir d’un commissionnaire de transport ou d’un transitaire. Lorsqu’on fait appel à un transitaire, celui-ci se charge de la bonne exécution des différentes formalités liées au commerce extérieur. D’un autre côté, sachez que certaines entreprises préfèrent se tourner vers des commissionnaires de transport puisque dans la plupart des cas, ceux-ci sont également commissionnaires aux douanes.

Après analyse si votre choix se porte sur un transitaire, n’oubliez pas de définir clairement les termes du contrat qui vous lie. Pensez aussi à privilégier un transitaire qui possède des contacts dans le pays de votre partenaire commercial. Cela peut se révéler très pratique pour résoudre d’éventuels litiges douaniers à l’étranger dans votre démarche d’internationalisationPour une exportation temporaire (par exemple pour une exposition), vous devez vous munir d’un carnet ATA. Il s’agit d’un passeport pour les marchandises concernées. Pensez aussi à souscrire à une assurance pour les marchandises.

Vous aimeriez quitter prochainement le monde du salariat pour enfin devenir votre propre patron ? Avant de construire cette nouvelle vie, vous devez savoir que la création d’une société nécessite une attention de tous les instants et des connaissances solides. Il vous faudra également éviter certains pièges, dont les plus handicapants seront détaillés dans le texte ci-dessous.

1. Mal définir votre projet

Il est important de rappeler que devenir entrepreneur est tout sauf une décision pouvant se prendre à la légère. Elle exigera un investissement constant en temps et en argent. Le changement de vie professionnelle ne doit pas non plus être motivé par la seule volonté de devenir millionnaire en quelques mois ou parce que vous ne supportez plus vos anciens collègues. Vous devez également savoir que vous aurez de nombreuses démarches administratives à réaliser. Celles-ci demandent de l’attention et un respect strict des règles de la procédure. Avant de vous lancer plus concrètement dans ce projet, n’hésitez surtout pas à vous familiariser avec des termes comme domiciliation d’entreprise, dénomination sociale, registre du commerce, régime fiscal, futur lieu du siège social ou encore avec les différents statuts juridiques.

Obtenir tous les documents administratifs ne sera toutefois pas suffisant pour garantir le futur succès de votre société. Vous devrez également être en capacité de réaliser des études de marché ainsi que des business plan. Les premiers ont pour objectif de mieux connaître le contexte local et les seconds vous permettront de définir le seuil de rentabilité, les investissements nécessaires ainsi que le budget prévisionnel. Ces documents seront indispensables pour toutes vos démarches auprès des établissements bancaires.

2. Se tromper de statut juridique

Votre futur succès dépend également du statut juridique de l’entreprise. Celui-ci varie selon plusieurs paramètres dont le type, le secteur d’activité, le montant du capital ou encore du nombre d’associés.

3. Agir seul

Vous auriez tort de penser qu’un entrepreneur est capable de tout faire seul. Il vous faut au contraire vous ouvrir le plus possible. C’est pourquoi vous ne devez jamais hésiter à parler de votre projet à d’autres chefs d’entreprise. Vous pouvez également vous confier auprès de professionnels spécialisés dans le conseil ou contacter des organismes tels que la CCI (chambre de commerce et d’industrie) du département dans lequel sera implantée l’entreprise.

4. Ne pas faire appel aux dispositifs d’aides

Boucler le financement de votre futur business sera probablement l’étape la plus difficile de ce parcours. S’adresser aux banques ne sera pas l’unique solution au problème. Vous pouvez en effet vous appuyer sur un nombre important d’aides conçues spécialement pour aider les nouveaux entrepreneurs. Parmi celles qui sont les plus connues du grand public, on retrouve notamment l’ACRE, l’ARE ou encore le dispositif NACRE.

5. Sous-estimer l’importance du marketing et de la communication

Ces deux éléments restent fondamentaux pour votre projet. Ils constitueront même une grande partie de la stratégie de l’entreprise. La communication a pour finalité de définir votre image de marque tandis que le marketing concerne davantage les activités commerciales.

6. Recruter trop tôt

Votre activité vous obligera peut-être à embaucher des salariés. Gardez bien à l’esprit que cela reste souvent coûteux et que cela vous engage sur le long terme. Aussi, il convient de ne pas se tromper ! Vous devrez donc considérer le poids réel de l’embauche sur les finances de l’entreprise et estimez précisément le montant des cotisations sociales liées. Pour réduire le risque de commettre une erreur, n’hésitez pas à déléguer cette tâche à un prestataire externe spécialiste du recrutement.

7. Ne pas vous accorder de temps libre

Devenir votre propre patron a de nombreux avantages. Vous décidez par exemple de la charge de travail et de vos horaires. Cependant, cela peut également engendrer des effets pervers. Les entrepreneurs sont bien souvent des personnes passionnées et prêtes à s’investir corps et âme. Pourtant, il est primordial de s’accorder des périodes de récupération et surtout de consacrer du temps à votre famille ou à vos amis.

8. Abandonner dès les premières difficultés

Créer votre entreprise s’apparente à un marathon. Aussi, vous ne devrez pas abandonner dès la première difficulté. Faites le dos rond durant les jours difficiles et efforcez-vous de patienter jusqu’à une période plus favorable. Faites le point sur les causes des problèmes et mettez en place une stratégie permettant de les éviter ou de les résoudre. Il est primordial de tirer du positif de chaque situation !

Ce n’est sûrement pas passé inaperçu pour la plupart d’entre vous, mais les boutiques de CBD fleurissent à tous les coins de rue depuis quelque temps. Depuis novembre 2020, ce commerce est devenu en France tout à fait légal. Après des années d’incertitude juridique, il est aujourd’hui autorisé d’ouvrir une boutique de CBD. Depuis leur ouverture, ces boutiques d’un nouveau genre ne désemplissent pas. Zoom sur ce phénomène inédit.

Un business florissant pour les entrepreneurs

Si de nombreuses boutiques de CBD voient le jour chaque année en France, c’est qu’il s’agit d’un business très lucratif pour les entrepreneurs. À condition de choisir le bon grossiste de CBD, il est possible de développer son entreprise en minimisant les risques. Adhérer à un réseau franchisé permet par la même occasion de bénéficier de l’expertise nécessaire pour se lancer en toute sérénité. Faire confiance à un réseau franchisé permet de s’assurer un approvisionnement en produits de qualité. L’achat de CBD en gros permet également de faire de précieuses économies.

Les boutiques physiques traditionnelles restent plébiscitées par les entrepreneurs comme par les consommateurs, mais de nouvelles voies de développement s’ouvrent grâce à Internet. En effet, les sites de e-commerce de CBD fleurissent partout sur le Web. Les avantages liés à ce type de commerce sont nombreux. Les ventes en ligne permettent de toucher un public élargi et sans aucune restriction géographique. Il n’existe aucun frais lié au local d’activité tels que le loyer, l’électricité ou encore les impôts et taxes.

Les nombreuses vertus du CBD

Si les boutiques de CBD ont le vent en poupe, c’est grâce aux nombreuses vertus médicinales de ce dérivé de la fleur de chanvre. Grâce à une teneur très faible en THC, le CBD ne possède aucun effet néfaste pour la santé. Il n’induit aucun effet psychotrope tel que des hallucinations. Au contraire, on lui attribue des effets positifs sur la santé. Grâce à ses principes actifs, il permet de diminuer le stress et l’anxiété, aide à retrouver un sommeil réparateur et accompagne les personnes en sevrage tabagique ou de THC. Par ailleurs, il est utilisé dans l’élaboration de produits cosmétiques et aide à retrouver une peau saine et belle. Anti inflammatoire, analgésique et relaxant, le CBD est un allié de la santé. Il peut être utilisé par de nombreuses personnes sans danger.

Un commerce en toute légalité

Longtemps associé au cannabis, le CBD est pourtant parfaitement légal en France. En effet, il n’est pas considéré comme un stupéfiant, du fait de l’absence d’effets psychotropes sur les consommateurs. Depuis le mois de novembre 2020, il est donc tout à fait légal d’ouvrir une boutique de CBD en France. Il n’existe aucun obstacle pour les consommateurs à acheter du CBD. Si le commerce de produits dérivés de la fleur de chanvre est aujourd’hui autorisé, il n’est toujours pas légal de fabriquer des produits liés au CBD. Les commerçants doivent donc s’approvisionner auprès de pays voisins.

Depuis cette décision de justice, de nombreuses boutiques de CBD fleurissent en France. Cette décision très attendue a mis fin à plusieurs années d’incertitude pour les commerçants de CBD. Cependant, la vente de CBD est strictement encadrée par la loi. Les produits vendus ne doivent en aucun cas dépasser le seuil de 0.2 % de THC autorisé. Par ailleurs, il est interdit de faire la promotion du cannabis à travers la vente de CBD.

Une large gamme de produits

Les huiles de CBD sont les plus connues, mais il existe une multitude de produits dérivés du CBD. Pour répondre aux besoins grandissants des consommateurs, les commerçants proposent aujourd’hui une large gamme de produits : compléments alimentaires, infusions, gélules, produits cosmétiques, cristaux, etc. Pour lutter contre les insomnies par exemple, les infusions au CBD sont recommandées. Il est également fréquent de mettre quelques gouttes d’huile de CBD dans son infusion afin d’obtenir un effet relaxant.

La tendance de slow cosmétique stimule également les ventes de CBD. Les consommateurs confectionnent eux-mêmes leurs produits cosmétiques avec des ingrédients naturels. Très efficace pour lutter contre l’acné, le CBD est utilisé par de nombreux jeunes à la recherche d’une peau saine et belle. Si ses effets sur la santé sont reconnus, cela est moins le cas pour ses propriétés cosmétiques. Pourtant, le CBD possède des vertus intéressantes pour apaiser et soulager les peaux fragilisées. Cela permet de redonner souplesse et éclat à la peau.

La dégustation des spiritueux doit obéir à un certain nombre de règles sans lesquelles on ne peut apprécier le goût comme il se doit. Ces directives, pour la plupart universelles, permettent de diluer l’alcool et de libérer les saveurs de la boisson. Dans cet article, nous allons vous fournir les 5 règles principales pour déguster un spiritueux comme le whisky comme un vrai pro.

Règle n°1 : Déterminez le bon moment

Tout dépend du spiritueux que vous dégustez ! Pendant l’apéritif, nous vous recommandons les spiritueux légers, parfaits pour débuter un repas sans trop s’alourdir l’estomac. Cependant, en guise de digestif, préférez les cocktails avec une saveur plus intense. Les cocktails préparés à base whisky canadien par exemple ou de rhum sont plus adaptés aux fins de repas que sur un ventre vide. Pour raviver vos soirées, optez pour des combinaisons festives tant au niveau de la créativité des mélanges qu’à celui de la présentation. Si vous êtes l’hôte de la soirée, vous avez la possibilité de choisir un thème à cet occasion spéciale et sélectionnant les alcools en fonction du pays. Vous utiliserez ainsi la déco pour suggérer l’atmosphère où la dégustation prendra tout son sens. Enfin, si vous n’êtes habitué à boire des boissons avec un taux d’alcool élevé, commencez avec du plus doux au plus corpulent pour ne pas vous laisser décourager par l’intensité du cocktail.

Règle n°2 : Choisissez le verre approprié

Les verres utilisés pour boire un spiritueux sont très variés. Dans un premier temps, nous vous recommandons les verres de petite contenance pour les boissons avec un indice d’alcool fort. Pour un taux plus faible, préférez des contenants plus petits puisque vous serez capable de consommer plus de quantité. Notez que les shots sont les verres qui correspondent au mieux aux alcools forts. Un verre du type « Old Fashioned » est plus approprié pour boire du whisky. La boisson « ti’punch » se boit dans un verre qui porte son nom. Les mélanges frais doivent être servis dans un verre à long pied afin de conserver cette fraicheur et ne pas réchauffer le liquide une fois que le récipient entre couverts par la paume de votre main. Les arômes sont aussi mieux révélés dans le large buvant. Voilà pourquoi le célèbre Martini se boit dans ce type de verre.

Règle n°3 : Trouvez la température idéale

Pour vivre une bonne expérience avec le spiritueux de votre choix, vous devez trouver la bonne température. A priori, l’usage de glaçon fausse le goût et confond les saveurs. Cependant, beaucoup de gens n’hésitent pas à en glisser un dans leur verre. Nous vous conseillons d’éviter le glaçon d’eau qui viendra inéluctablement diluer la boisson et compromettre son goût. Optez plutôt pour une pierre à Whisky à température ambiante entre 18 et 20°C. Si vous comptez préparer la boisson vous-mêmes avec du jus de fruits, rafraichissez-la dans le réfrigérateur avant d’ajouter l’alcool. Le shaker est également vivement recommandé pour obtenir une boisson fraiche instantanément. Une fois que vous aurez fini de secouer le récipient, pensez à enlever les glaçons en utilisant un élément de filtrage.

Règle n°4 : Appliquez le Food-Pairing

Le Food-Paring est une pratique qui a tendance à se répandre chez les adeptes des spiritueux. Également appelée « accords mets-cocktails », elle consiste à réaliser des mélanges de boissons alcoolisées avec des plats spécialement conçus pour les apéritifs. Vous aurez alors de quoi grignoter avec vos délicieuses boissons et décupler le plaisir. Parmi les associations que vous pouvez essayer, il y a la vodka avec des recettes préparées avec du saumon. La Vodka se marie aussi, à la perfection, avec les desserts au chocolat. Si vous préférez le gin, sachez que ce spiritueux s’accorde avec les fruits rouges dans la catégorie sucrée et avec le poisson et les fruits de mer pour le salé.

Règle n°5 : Suivez les conseils complémentaires

Les producteurs attachent beaucoup d’importance à la sélection des composants de chaque spiritueux. Pour savourer votre boisson, il faut rincer votre palais en passant d’une variété à une autre. Pour cela, prévoyez un verre d’eau. Ajoutez quelques gouttes de citron et introduisez une feuille de menthe dedans. Cette recette vous permettra de vous débarrasser de tous les goûts que vous avez essayés. Elle peut donc s’avérer d’une grande utilité pendant un barbecue. Enfin, prenez votre temps afin de pouvoir identifier les différents arômes qui émanent de votre boisson.

L’adoption d’un chien est un engagement à ne pas prendre à la légère. Il s’agit là du début d’une histoire qui va durer au moins pour une bonne dizaine d’années. Derrière cette décision, il y a des responsabilités que vous devez assumer en tant que propriétaire du chien. Voici 6 astuces pouvant vous aider pour la préparation de l’arrivée de votre compagnon à quatre pattes.

1. Réfléchir sur le type de chien à adopter

Vous pouvez désormais trouver facilement un chiot à adopter sur internet. Des plateformes proposent de faciliter la mise en relation entre les futurs propriétaires et les éleveurs de chats et de chiens. L’avantage avec cette option est la possibilité d’avoir des animaux élevés suivant le respect des règles sanitaires et de la protection animale. Alors pour le choix, vous devez être conscient qu’en matière d’éducation, tout est encore à faire avec un petit chien. Il faut donc lui consacrer assez de temps. Si vous ne pouvez pas faire des concessions là-dessus, le mieux est peut-être de prendre un chien adulteContrairement aux idées reçues, adopter un grand chien renferme un certain nombre d’avantages. Si vous cherchez des animaux de compagnie calmes et indépendants, vous ne regretterez pas ce choix. Malgré tout, il est toujours mieux de prendre du temps pour observer le caractère du chien avant l’adoption. Cela vous permet de savoir lequel correspond à vos attentes et votre mode de vie.

2. Ne pas négliger la race

Avant d’adopter un chien, vous devez savoir que la race influe sur le caractère propre de l’animal. Certains chiens sont parfaitement à l’aise avec la vie en appartement, se contentant de quelques balades. D’autres sont plus actifs et éprouvent un grand besoin de se dépenser physiquement. En jetant votre dévolu sur cette seconde catégorie, vous devez déjà penser à la manière de permettre au chien de se défouler. Par ailleurs, prenez garde aux règles régissant l’adoption des chiens de 1ère et 2ème catégorie. Elles s’adressent aux détenteurs d’un chien de garde et défense et d’un chien d’attaque. Ces types de chiens sont susceptibles d’être dangereux. Vous devez obtenir un permis de détention pour pouvoir en élever un.

3. Faire attention aux caractéristiques du chien

Certaines races de chiens sont physiquement une boule de poils au sens propre du terme. Ces petits cabots mignons comme tout possèdent une fourrure longue et épaisse. C’est le cas du spiz pomeranien et du spiz nain. Si votre ami canin est doté de poils fournis, ne négligez pas l’entretien de son pelage. Cela prévient l’apparition des nœuds qui peut être dangereuse pour l’animal. De plus, les poils démêlés réduisent le risque d’infestation de parasites. La maison et vos linges restent aussi propres, car il y a moins de poils.

4. Rendre l’accueil aussi agréable que possible

Bien qu’il ait trouvé une famille d’accueil, un chien adopté aura besoin de temps pour s’adapter à son nouvel environnement. C’est pourquoi il est important de préparer l’endroit pour l’accueillir. Il vaut mieux faire un peu de rangement pour éviter de le déranger le premier jour. Ranger tout ce qui traîne par terre (objets fragiles, fils électriques, etc.). Surtout, vous devez faire en sorte d’être disponible pour accueillir votre nouvel ami canin. Gardez à l’esprit que votre présence l’assure. Privilégiez le week-end ou les jours de vacances pour l’accueillir.

5. Habituez-vous à vivre avec votre compagnon à quatre pattes

Veiller à ce que le chien ait son territoire à lui lorsqu’il arrive chez vous. Idéalement, installer son panier dans un endroit où il sera à l’abri des courants d’air. Pour ne pas perturber, il vaut mieux ne pas le placer dans un endroit de passage. Puis, disposez à ses côtés les nécessaires comme sa gamelle et quelques jouets. Attention, les premières nuits peuvent être un peu difficiles avec un chiot. Ce dernier peut se mettre à pleurer et se montrer perturbé. Cependant, il est inutile de le gronder, car c’est parfaitement normal. Afin de le calmer, utilisez un diffuseur d’apaisement canin. Si cela peut se faire, vous pouvez amener son panier à l’intérieur pour qu’il ne se sente pas seul. Bien sûr, il s’agit d’une période transitoire. La venue d’un chien peut également vous inciter à modifier certaines de vos habitudes. Par exemple, vous devez savoir que le tabagisme passif a un impact néfaste sur la santé des animaux domestiques.

6. Bien éduquer votre animal et penser à sa santé

Ne minimisez pas l’importance de l’éducation canine pour le bien de votre animal et pour vous-même. Bien l’éduquer consiste à l’apprendre à vivre en société. De cette façon, vous vous assurez une relation harmonieuse au quotidien avec votre compagnon à quatre pattes. D’ailleurs, il existe aujourd’hui des cours individuels d’éducation canine proposés en fonction du caractère du chien. Toujours pour le bien de ce dernier, ne négligez pas les routines chez le vétérinaire. Vous devez aussi savoir que le vaccin contre la rage est obligatoire pour certains types de chiens.

Sur le marché des entreprises qui vendent leurs produits ou services à des professionnels (B2B), les techniques de prospection présentent certaines spécificités. Là où les marques qui s’adressent aux particuliers jouent plutôt la carte de l’émotion, les spécialistes du B2B ont plutôt intérêt à faire appel au raisonnement logique de leurs interlocuteurs. Certains piliers de l’acquisition de leads, comme la connaissance du client par exemple, demeurent toutefois les mêmes dans tous les secteurs. Découvrez tout ce qu’il faut savoir pour générer un nombre croissant de leads sur un marché B2B !

Règle d’or n°1 : connaître les besoins de la cible dans les moindres détails

S’il ne fallait retenir qu’une règle d’or en matière d’acquisition de leads, ce serait celle-ci : l’efficacité de votre prospection B2B dépend essentiellement de votre connaissance du marché. Mais pour générer des contacts, vous ne devrez pas vous contenter d’évaluer vos concurrents : il vous faudra vous concentrer sur votre cible en priorité. Interrogez-vous sur ses besoins et les problématiques qu’elle rencontre. Intéressez-vous aussi à ses objectifs et aux indicateurs qu’elle adopte pour mesurer ses progrès : pour convaincre un professionnel d’opter pour votre offre, vous devrez avant tout lui prouver qu’elle peut l’aider à faire prospérer son entreprise. Une fois que vous disposerez de toutes ces informations sur vos prospects, vous pourrez choisir les canaux et les méthodes de prospection les plus appropriés pour les attirer et les convertir en clients.

Règle d’or n°2 : miser sur un positionnement d’expert

Une campagne de prospection réussie ne se résume pas à repérer les clients potentiels : vous devrez aussi les convaincre de la pertinence de votre offre au regard de leurs besoins. C’est pourquoi vous aurez tout intérêt à adopter un positionnement expert sur l’ensemble de vos supports de communication, à commencer par le site web de votre entreprise. Le content marketing pourra s’imposer comme une technique de prospection de choix : en publiant régulièrement des conseils et des guides pratiques sur un blog professionnel, vous pourrez sans doute vous démarquer de la concurrence tout en posant les bases d’une relation de confiance avec vos futurs clients. Vous devrez néanmoins vous assurer de concevoir des contenus de grande qualité et à forte valeur ajoutée pour que votre stratégie participe au développement commercial de votre entreprise.

Règle d’or n°3 : exploiter tous les leviers digitaux disponibles

Contrairement aux idées reçues, les premières étapes d’une campagne de prospection sont rarement assurées par un commercial B2B. Désormais, les particuliers comme les professionnels se renseignent de façon autonome avant d’entrer en contact avec les marques qui les intéressent. La page Facebook ou LinkedIn de votre entreprise est devenue votre premier commercial ! Vous devrez donc veiller à soigner l’ensemble des plateformes digitales de votre organisation, en précisant toutes les informations dont vos prospects pourraient avoir besoin avant de vous contacter. Pensez également à diversifier vos modes de communication : en plus du traditionnel numéro de téléphone, n’hésitez pas à faire installer un chatbot sur votre site web, sans oublier d’exploiter la messagerie instantanée d’un réseau comme Facebook.

Règle d’or n°4 : structurer le parcours d’achat en amont

Avec l’essor du digital, les campagnes commerciales déployées par les entreprises B2B ont connu de nombreuses évolutions. Les stratégies d’acquisition de leads se veulent désormais « multicanal » : tous les moyens sont bons pour attirer de nouveaux clients et les fidéliser à long terme. Si les leviers ne manquent pas pour y parvenir, leur diversité peut également constituer un véritable obstacle. Vous devrez donc structurer vos efforts pour ne pas vous éparpiller ! N’hésitez pas à schématiser le parcours d’achat que vous proposerez à vos prospects, depuis la découverte de votre marque jusqu’à la conclusion de la vente. Déclinez l’ensemble des supports, digitaux ou non, que vous utiliserez à chaque étape de ce parcours. Pensez également à impliquer vos commerciaux lors de ce travail de réflexion : ils ne manqueront pas d’enrichir vos recherches grâce à leur excellente connaissance du terrain.

Règle d’or n°5 : assurer le suivi des campagnes d’acquisition de leads

S’il est essentiel de structurer vos campagnes commerciales, leur suivi s’avère tout aussi important pour évaluer l’efficacité des actions mises en place. Vous devrez donc vous doter d’indicateurs pertinents pour analyser vos pratiques actuelles, les optimiser et faire grandir votre base de clients. Ces indicateurs de suivi des performances (ou KPI) devront directement dépendre de vos objectifs commerciaux, qu’il s’agisse simplement d’accroître la visibilité de vos offres ou bien de booster les ventes et le chiffre d’affaires de votre organisation. Là encore, l’implication de votre équipe commerciale s’avérera indispensable : n’hésitez pas à la faire intervenir lors du choix de vos indicateurs.

Pour investir et rentabiliser dans le domaine immobilier, il faut respecter certaines conditions de base. Le choix du lieu de l’investissement fait partie intégrante de la recette du succès. Il faut que l’emplacement de votre investissement soit attractif. La Vendée est l’un des départements qui rassemblent le plus de critères qualifiés d’attractifs en immobilier. Si vous avez pour projet d’investir dans l’immobilier, voici quatre raisons qui font de la Vendée un emplacement de choix.

1. La popularité du littoral vendéen

La Vendée a l’avantage de côtoyer de très près l’océan atlantique. Il existe en effet dans la région de nombreux territoires bordés par les eaux de la mer. Le cadre est idéal pour vous implanter en tant qu’investisseur dans l’immobilier. Des opportunités sont à saisir si vous décidez de vous lancer. Vous avez la possibilité de contacter par exemple une agence immobilière à Saint-Hilaire-De-Riez pour dénicher des offres inégalables dans la zone. Parmi les villes les plus célèbres de la Vendée, Saint-Hilaire-De-Riez est l’une des plus fréquentées. Elle est d’ailleurs l’une des destinations les plus prisées en France en matière de retraite. La raison est toute simple, il fait bon vivre dans cette station balnéaire qui fusionne bien terre et mer. Les appartements neufs sont à des tarifs plus qu’intéressants. Vous pourrez aussi investir dans l’acquisition d’un bien immobilier locatif dans un lieu attractif. Cela vous apportera des revenus assez conséquents.

2. Un secteur professionnel en plein essor

Il existe une pléiade d’opportunités professionnelles en Vendée. Il y en a pour tous les goûts, quelle que soit l’activité que vous pratiquez. La Vendée étant une région à forte prédominance touristique, trouver du travail devient plus aisé qu’ailleurs. Si vous voulez procéder à une reconversion professionnelle, vous serez comblé de la multitude d’opportunités qui se présenteront à vous. Par ailleurs, le taux de chômage en Vendée est l’un des plus bas de France. Cela est principalement dû au dynamisme de la population de cette région. De nombreuses personnes viennent en Vendée à la recherche de travail. Toutes ces personnes exploiteront à coup sûr le marché de l’immobilier pour des raisons de proximité avec leur emploi. Un appartement à vendre serait donc une belle affaire pour vous. La Vendée a l’avantage de fournir du travail et donc une population dans le besoin de locations.

3. Une population accueillante et dynamique

La démographie en Vendée se développe à une vitesse exponentielle. Chaque année, ce sont environ 8000 personnes qui arrivent en Vendée, nouveaux habitants et entrepreneurs confondus. Cette forte croissance démographique s’explique par le grand succès économique et les nombreuses offres d’emploi qui font de la région ce qu’elle est. Avec ces caractéristiques, la Vendée apparait comme une zone où l’investissement immobilier est une mine d’or. La population vendéenne regroupe de nombreuses catégories de personnes : étudiants, actifs, retraités, etc. Toutes ces personnes doivent se loger. Ainsi, l’achat immobilier à des fins de location et de vente est logiquement un secteur qui vous rapportera des bénéfices.

Si vous souhaitez vous installer en Vendée, les prix des appartements et des maisons restent très abordables. Le département est développé et vous n’aurez aucun mal à trouver autour de vous les infrastructures de première nécessité. Qu’il s’agisse d’écoles, d’hôpitaux ou de la petite épicerie du coin, la vie en Vendée vous plaira. Votre investissement n’en sera que rentable.

4. Une région essentiellement touristique

Avez-vous déjà entendu parler de la Côte de Lumière ? Il s’agit d’un charmant ensemble de côtes sableuses et de côtes rocheuses se trouvant en Vendée. Cet avantage géographique fait de la région un paradis touristique important. Chaque année, des milliers de touristes viennent se prélasser sous le soleil des plages et profiter du climat apaisant de la zone. Investir dans la location de biens immobiliers dans cette partie de la France améliorerait à coup sûr vos finances. Si votre investissement dans l’immobilier est plus axé sur la recherche d’un logement pour vous-même, les attractions de la région vous séduiront. Vous êtes certain de ne pas vous ennuyer avec tout ce qu’il y a à découvrir et à visiter. Parmi les plus belles attractions de Vendée, vous retrouverez entre autres :

Vous pourrez acheter un appartement en Vendée pour vos passages dans le coin. Cela ne vous coûtera pas cher et il pourrait servir de bien locatif lorsque vous serez absent. Par ailleurs, si vous décidez d’acheter une maison pour préparer votre retraite, rassurez-vous, la vie n’y est pas chère. Les prix sont accessibles à tous et diffèrent de ceux des grandes villes et de la plupart des autres départements.

Acquérir une maison secondaire est souvent un projet de vie auquel aspirent de nombreux Français. En effet, avoir un autre logement dans une région que l’on apprécie est très confortable. Néanmoins, certains éléments doivent être considérés avec sérieux, car ce genre d’investissement est coûteux et peu rentable. Avant de pousser les portes des agences immobilières, découvrez tout ce qu’il faut savoir sur cette question de l’achat d’une résidence secondaire.

1. Penser à la distance à parcourir par rapport au logement principal

Investir son argent dans une maison secondaire, c’est bien, mais pouvoir ensuite s’y rendre régulièrement, c’est mieux. Nombreuses sont les personnes qui souhaitent avoir un pied-à-terre dans leur ville ou région coup de cœur. C’est normal, surtout si de beaux souvenirs sont liés à cet endroit. La réalité les rattrape parfois quand il faut aussi privilégier l’aspect pratique. Non, ce n’est pas forcément une bonne idée d’acheter un appartement à Port Leucate lorsque l’on habite à Lille. Dans sa recherche de biens, il faut alors penser à la localisation de ce futur logement, en fonction de sa résidence principale actuelle. Plus il y aura de la route à faire et moins les gens auront envie de se retrouver là-bas. Or, il faut tout de même que cet investissement soit rentabilisé ! C’est un achat coûteux qui ne doit pas devenir un boulet. Il est donc important de consulter l’avis des personnes qui sont le plus susceptibles d’y être conviées, le temps des vacances ou d’un week-end.

2. Prévoir les charges courantes liées à la résidence secondaire

Avant d’acheter une résidence secondaire, le réflexe est de faire les comptes afin de s’assurer que le budget est là pour honorer le prix de vente de ce bien. Si cela est positif, les premiers feux sont au vert. Cependant, cette vérification ne suffit pas. Il est essentiel de garder à l’esprit que diverses charges se rajouteront au fur et à mesure. Les propriétaires ne vivent pas dans ce bien tout au long de l’année, toutefois, cela n’empêche pas la survenue de charges courantes telles que les factures d’eau, d’électricité, de menus et gros travaux… De plus, les aides gouvernementales ne sont pas aussi généreuses pour les résidences secondaires. En général, les propriétaires ne peuvent compter que sur leurs propres économies pour tout payer.

Seules les banques interviennent dans l’équation pour aider à payer tous les frais. Une maison secondaire s’entretient régulièrement pour qu’il soit agréable d’y vivre, même temporairement, et pour anticiper une éventuelle revente. Autre point à ne pas négliger : le coût de l’assurance habitation, indispensable pour se protéger en cas de cambriolage par exemple.

3. Ne pas négliger la fiscalité relative au bien

Les annonces immobilières mettent en avant les biens qui sont en vente et les futurs propriétaires espèrent trouver le logement de leurs rêves. Mais sont-ils bien informés quant à la fiscalité relative à ce genre de biens ? Au-delà du coup de cœur, il est conseillé de rester pragmatique afin de ne pas se retrouver avec une maison qui coûte trop cher à l’année. Il faut alors noter que la réduction concernant l’impôt sur le revenu n’existe pas pour une résidence secondaire et qu’il faut payer des impôts locaux annuellement. Si un appartement en vente a besoin de travaux de rénovation par la suite, parce qu’il ne correspond pas aux normes énergétiques actuelles par exemple, les aides de l’État ne s’appliquent pas non plus. Cependant, les taux liés à la TVA peuvent diminuer en fonction des travaux effectués. Afin de ne pas être pris au dépourvu, il vaut mieux discuter de ce projet avec un expert pour avoir connaissance de toutes les subtilités fiscales dont bénéficie ou non, une résidence secondaire.

4. Anticiper les éventuels risques naturels auxquels s’expose la maison secondaire

Acheter une résidence secondaire sous-entend également qu’il faut connaître un minimum l’environnement dans lequel on investit son argent. À titre d’exemple, la Bretagne est une région magnifique, où l’on peut avoir l’habitude de s’y rendre durant les vacances d’été. Cependant, avoir conscience de toutes ses spécificités, notamment en termes de phénomènes naturels, est un autre point. Ainsi, comme pour tous les biens immobiliers qui sont à vendre, se renseigner sur les risques liés aux catastrophes naturelles doit être un réflexe à prendre. Pour ce faire, si un appartement ou une maison nous fait de l’œil, il est conseillé de consulter les ressources mises en ligne par les communes. Une base de données regroupe tous les risques naturels et technologiques en fonction de la localisation du logement.

Avant d’investir, notamment dans un bien situé en zone rurale, il est aussi recommandé de ne pas négliger le sujet de l’assainissement. Souvent, l’assainissement n’est pas collectif et il est important de se renseigner en amont auprès de la commune. Dans ce cas, des raccordements devront être effectués pour traiter correctement les eaux domestiques.

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